« Ses chanoines vermeils et brillants de santé S'engraissaient d'une longue et sainte oisiveté ; Sans sortir de leurs lits plus doux que des hermines. Ces pieux fainéants faisaient chanter matines, Veillaient à bien dîner, et laissaient en leur lieu A des chantres gagés le soin de louer Dieu ». Nicolas Boileau, Le lutrin, chant premier (1672)
1 avril 2019